La justice le soupçonnait alors d'avoir volé 40 gb de données informatiques à son employeur, à l'origine du scandale des Panama papers à la suite d'un vaste piratage. Après une année et demie d'enquête, le Ministère public a classé l'affaire le 4 décembre, faute de preuves. Une conclusion due …
Source: Le lanceur d'alerte n'était pas Genevois
